Collections Sculpture Robots

La démarche de Luc Bikono-Abeng ne revendique ouvertement
nulle origine ou tradition .Elle s’inscrit d’abord dans une écriture
personnelle de l’espace, c’est à dire dans la peinture.
J.F. CASSAT
LE PASSAGE A UN FORMAT PLUS CLASSIQUE
SUR LE VIF
"Un jour, sachant que je peignais les murs, une association (Jeunes dans la cité ) me demande si je suis capable
de m'adapter sur un support en bois. Je rétorque que oui!
Ils vont me fournir le matériel nécessaire : le support en bois et les bombes.
L'idée de travailler sur ce support me réjouissait.
Au lieu de peindre en toute hâte , j'allais pouvoir me poser.
Le graff à l'arrache, c'est dangereux.
Sans un bruit, discret, je reprends mon souffle à l'abri des regards.
Il faut toujours être sur ses gardes, prudent et discret pour éviter de se faire voir.
La capuche est plus que nécessaire. Elle permet de se protéger des regards insistants des passants, et préserve un certain anonymat.
Cette atmosphère du graff à l'arrache nous est nécessaires, vital, à nous graffeurs.
C'est l'école de la Rue, ma jeunesse,
celle que j'aime et admire toujours autant
parce qu'elle percute,
est plus osée en terme de créativité
Elle est sur le VIF.
J'allais donc expérimenter d'autres conditions de création: peindre à l'intérieur sans stress,
sans crainte que tout s'arrête subitement ...
Là, J'avais tout mon temps pour méditer sur le sujet...
Les Murs c'est l'État. J'étais passé dans la Légalité.
J'ai testé d'autres matériaux pour voir, j' ai ainsi élargi ma gamme créative !
Et depuis j'ai opté pour cette technique!
Le titre de la peinture que j'ai réalisée pour cette association, est donc:' VOCATION '
car je venais de découvrir ma vocation...(1992 à 20...)
nulle origine ou tradition .Elle s’inscrit d’abord dans une écriture
personnelle de l’espace, c’est à dire dans la peinture.
J.F. CASSAT
LE PASSAGE A UN FORMAT PLUS CLASSIQUE
SUR LE VIF
"Un jour, sachant que je peignais les murs, une association (Jeunes dans la cité ) me demande si je suis capable
de m'adapter sur un support en bois. Je rétorque que oui!
Ils vont me fournir le matériel nécessaire : le support en bois et les bombes.
L'idée de travailler sur ce support me réjouissait.
Au lieu de peindre en toute hâte , j'allais pouvoir me poser.
Le graff à l'arrache, c'est dangereux.
Sans un bruit, discret, je reprends mon souffle à l'abri des regards.
Il faut toujours être sur ses gardes, prudent et discret pour éviter de se faire voir.
La capuche est plus que nécessaire. Elle permet de se protéger des regards insistants des passants, et préserve un certain anonymat.
Cette atmosphère du graff à l'arrache nous est nécessaires, vital, à nous graffeurs.
C'est l'école de la Rue, ma jeunesse,
celle que j'aime et admire toujours autant
parce qu'elle percute,
est plus osée en terme de créativité
Elle est sur le VIF.
J'allais donc expérimenter d'autres conditions de création: peindre à l'intérieur sans stress,
sans crainte que tout s'arrête subitement ...
Là, J'avais tout mon temps pour méditer sur le sujet...
Les Murs c'est l'État. J'étais passé dans la Légalité.
J'ai testé d'autres matériaux pour voir, j' ai ainsi élargi ma gamme créative !
Et depuis j'ai opté pour cette technique!
Le titre de la peinture que j'ai réalisée pour cette association, est donc:' VOCATION '
car je venais de découvrir ma vocation...(1992 à 20...)